Dès les années 1930, une volonté de rompre avec la routine maïsicole s'exprime, notamment au travers de la tenue d'un congrès international à Pau et par la mise en place des structures, telles que la station de génétique du maïs de Saint-Martin-de-Hinx (1932) […].
Il n'a jamais étudié cet art à fond, mais il y a acquis une sorte de routine.
Il fait cela par routine.
Et s'il existe encore des contrées en France, où les vieilles coutumes persistent, c'est grâce à la routine qui y règne en maîtresse ; […].