enculer

Cependant, tandis qu'il m'enculait, je le sodomisais avec mon doigt, ce qui eut l'air de lui faire plaisir.

C'est quand je lui demandai de se tourner afin que je l'enculasse et que je vis son regard s'ouvrir sur la muette interrogation que je compris […]

On comprend que les Romains de la décadence s'enculèrent tous à qui mieux mieux.

Vieille morue, rabatteuse d'épouse, je vais me rôtir le balai dans tes fesses. Promis, si je t'attrape, je t'encule. Tu vas contracter une bonne galanterie.

N'enculez pas de force la femme de chambre avec un manche à balai. Vous pourriez lui faire très mal.

Monsieur l'curé a des plat's-bandes

Je n'ai pas à me gratter pour trouver des sujets. « Ah, la belle-mère qui adore son gendre, se fait enculer par son petit-fils, etc… »

Ils se battent sans connaître une guerre, ils se fracassent et se déchirent à petites dents rêvées, et leurs chiens s'enculent le long du comptoir cuivré.

Je veux être enculé. : Que le diable m'emporte.

Plutôt/autant/je préfère aller me faire enculer. : Jamais, plutôt crever.

Va te faire enculer. : Va-t'en au diable, crève, va te pendre.

Attention, camarades, on nous encule ou libérons les profs de leur mauvaise conscience.

Tu ne risques pas de revoir ton fric, tu t'es bien fait enculer !

Ne pas se laisser enculer. : Ne pas se laisser faire, ne pas se laisser berner, ne pas être né de la dernière pluie.

Sept mille. C'est tout ce que tu as enculé ?

En 40, on s'est fait enculer par les Allemands ; en 1953, par les Viets… c'est fini ! Le peuple en a marre des intellectuels comme toi.

Descends ici par ici ! Petit fumier !… Qu'on t'encule une bonne fois pour toutes !…

J'en ai marre de tes histoires, arrête de m'enculer.

Je t'encule chien puant ! Tu vas crever !

C'est bien vrai ça, moi j'appelle ça être enculée par le destin, mais le destin je l'encule à mon tour.