Tous ceux qui n'avaient pas de bidons, de troisième cartouchière, de vis de culasse, en découvrent soudain un choix près d'eux […].
Je tapai deux fois violemment sur la culasse avec la paume de ma main pour montrer que l'arme était bien réelle et que c'était bibi qui la tenait.
M. Besseghir avait été dénoncé par Marcel Le Hir, qui avait affirmé à la police avoir remarqué, près d'une voiture dans un parking de l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle, un homme manipulant la culasse d'une arme.