Ces dernières, relativement denses, restent bien formées plusieurs années malgré les pluies et semblent peu intéresser les insectes coprophages ; les bousiers leur préfèrent la petite crotte de mouton, très abondante.
Les feuilles éparses autour des crottes m'incitèrent à croire qu'il avait même pris le soin de se torcher l'oignon.