Ce refus de l'injustice et du nationalisme cocardier se prolonge vingt-cinq ans plus tard par le refus patriotique et combattant du fascisme, de l'occupant et de ses complices français.
Un autre dément d'assez belle envergure, c'est le bon François Coppée, à qui la nouvelle que Dreyfus était « cocardier » vient de provoquer un accès de délire.