Enfin, dans tous les groupes étudiés jusqu'ici, l'individualité de chaque être se manifeste dès la première apparition du germe, dès les premiers rudimens de l'œuf, et persiste pleine et entière jusqu'à la mort. , Les Métamorphoses et la généagénèse, Revue des deux Mondes, 2e période, tome 3, 1856 (pp. 496-519)}}
jamais je n'ai chassé, car cette idée que j'aurais pu, délibérément et de sang froid, arracher la vie à un être quelconque, me semblait impossible et monstrueuse. }}
Hélas si l'homme peut quelquefois avoir pitié des bêtes, quel être supérieur aura pitié de lui? }}
Je n'éprouvais plus qu'une sensation vague des objets et des êtres. Tout passait devant moi, avec des formes indécises. , Lettres de ma chaumière : La Tête coupée, A. Laurent, 1886}}