Il a obtenu l'économat de tel collège, de tel hospice.
« Il y a eu des abus. Certains défunts cassent leurs ailes, ou abîment leur harpe. Des nuages sont vandalisés. Tout cela coûte très cher » estime M. Chapuis, responsable de l'économat du Paradis qui espère que ces décisions vont « responsabiliser les résidents »