Je crus que c'était la « Vierge des dernières amours », cette vierge qu'on envoie au prisonnier de guerre pour enchanter sa tombe. Dans cette persuasion, je lui dis en balbutiant, et avec un trouble qui pourtant ne venait pas de la crainte du bûcher : Vierge, vous êtes digne des premières amours, et vous n'êtes pas faite pour les dernières.
La race des Brankovan est maudite, jusqu'à la troisième et quatrième génération […] Mais le terme de la malédiction est arrivé ; car, quoique épouse, vous êtes vierge, et en moi la race s'éteint. , Les Mille et Un Fantômes}}
Sous l'ombrelle de soie blanche qui la garantissait des chauds rayons du soleil, elle ressemblait à une jeune mariée sous son voile, à une vierge prête à se livrer aux enchantements de l'amour. }}
Telle est la chair des femmes, un abîme où s'engloutir sans recours, et celle des vierges un brasier qui consume l'âme. }}