Avec un gain en sièges historique, le Bloc québécois, la formation souverainiste, a certes bénéficié de l'indignation de l'opinion de la Belle Province, choquée par le scandale des « commandites » et du discrédit qui pèse sur le nouveau gouvernement provincial du libéral Jean Charest, incapable de mener à bien les réformes nécessaires.
« Mais il y a d'autres moyens de faire de la politique », a-t-il mentionné, s'engageant à militer au sein du Parti québécois lors de la prochaine campagne électorale et dans le camp souverainiste lors d'un éventuel référendum.