Pour le rigolage, on arrache les plants (…) mais au lieu de les repiquer avec le plantoir, on ouvre avec la bêche ou la houe, une tranchée ou rigole dans laquelle les plants sont rangés; puis la rigole est remplie et l'on en ouvre une autre à côté, et ainsi de suite, jusqu'à ce que tout le plant disponible soit rigolé. (CARRIÈRE, Pépinières, 1878, p. 64).
Le rigolage des eaux d'une rivière.
Le cliquetis des feuilles d'automne, le « rigolage » des ruisseaux sur les cailloux, le vent, la pluie (…) toute cette vie champêtre, vous la trouverez dans son livre [de Léon Pillaut] (Alphonse Daudet, Trente ans Paris, 1888, p. 292).