Lorsque Hans, c'était le nom que le comte donnait à son cheval, eut été attaché à l'une des places vacantes, que sa litière eut été confortablement garnie de paille, son auge d'avoine et son râtelier de foin, le chevalier songea alors à lui-même, […].
elle était parvenue,certaine nuit à couler dans la grange son corps vermiforme, et de là, tombant par les abat-foin dans le râtelier des vaches, à pénétrer dans l'étable chaude où logeaient les poules.