Il entrait en qualité de « fait-diversier » dans un quotidien de Marseille, moyennant quatre-vingt-dix francs par mois. }}
le venin distillé par Drumont et ses collaborateurs fut recueilli par le quotidien royaliste, lAction Française. Les dirigeants du mouvement néo-royaliste ne se contentèrent pas de rééditer, à leur compte, les mensonges et les faux de la Libre Parole.