Quelques ordres fusèrent […]. Aboyés avec la rudesse gutturale d'un gosier poméranien, ils eurent pour effet immédiat de déloger un groupe de feldgraus agglutinés devant la flamme dansante d'un brasero.
Entre le nez du welche et le nez du boche un observateur attentif retrouverait les différences accusées qui séparent l'appareil olfactif du chien d'arrêt français de celui du dogue poméranien.