Cependant, face au récit de la vie de Macaire le Copte, ce père du désert imaginé par Weyergans, le lecteur reste perplexe : peut-on vraiment trouver la sainteté en s'abîmant ainsi dans la recherche des frustrations et en s'exposant de la sorte aux maladies sournoises de la malnutrition, isolé de toute relation humaine ?
L'être humain est perplexe et faible dans ces actes.