Dans un centre plus ou moins hospitalier, le patient qui attend un calmant qui tarde à venir a parfois bien du mérite à l'être.
Après plusieurs séances dramatiques, ce fut possible de passer outre le comportement tantôt rigide et catatonique, tantôt guignolesque de la patiente et de créer un contact personnel.
Mais on dérape très vite, le médecin est aussi fou que ses patients, les infirmières sont déchaînées, l'atmosphère vire au pandémonium morbide et sexué.