du latin morsus , « morsure », de mordere, « mordre. »
Définitions
Pour les Grecs, le cheval furieux est terrible à regarder et terrible à entendre, car le grincement des dents, le bruit du mors, rappellent le grondement des Érinyes : […].
Quant aux brides, aux mors, aux têtières, aux frontails, nos langues du Nord sont trop froides, trop pauvres, trop mesquines, pour en décrire les somptuosités; […].
les chevaux s'arrêtent net, ployant sur leurs jarrets et rejetant la tête en arrière sous l'action brutale du mors arabe. , Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, p. 47}}
Les branches, les bossettes d'un mors.
Ce mors blesse la bouche de votre cheval.
Il faut à ce cheval un mors plus doux, plus fort, plus rude.
Un cheval qui joue avec son mors, qui mâche son mors.