Le professeur Durkheim disait dernièrement à la Société française de philosophie (11 février 1906) qu'on ne saurait supprimer le sacré dans le moral et que ce qui caractérise le sacré est d'être incommensurable avec les autres valeurs humaines ; […].
Le physique influe beaucoup sur le moral, et le moral sur le physique.
Il est mieux partagé au physique qu'au moral.
Cet homme est bien malade, le moral même est affecté.