du latin miseria, de miser, « malheureux ». (xiie siècle) miserie.
Визначення
Que mon propre lecteur, à condition -misère…- que les homélistes lui aient enseigné l'hébreu, s'emploie donc dare-dare à accueillir favorablement l'invite : elle ne le volera pas en surprises : des pans entiers du gnosticisme, et des évangiles, et des Épitres, et de l'Apocalypse canoniques lui paraitront aussitôt fort limpides. , L'Invention de Jésus, tome II, « La fabrication du Nouveau Testament », Éditions Gallimard, Paris, 1989, p. 52}}