Sans compter que, dans le pays où la chose s'est passée, il y a deux écoles de garçons : une laïque et une congréganiste.
Ils avancent qu'en France on a très violemment critiqué le catholicisme, en particulier au XIXe et au début du XXe siècle, et que ce combat n'était pas de la « christianophobie », mais simplement une volonté de défendre un État laïc, au nom de l'universalisme républicain.
Le propre de la culture antique est sa tournure foncièrement laïque.