Il y a de nombreux italianismes chez les poètes français du XVIe siècle.
Un compte chypriote de 1367 offre l'exemple d'un français truffé d'italianismes et parsemé de mots empruntés au grec.
Trop plus, trop mieux, le plus de temps sont des italianismes (traductions de troppo più, troppo meglio et il più del tempo) que l'on trouve dans les traductions de Jacques Amyot (1513-1593).
La mode des hispanismes, qui était venue, dans les années 1620-1630, équilibrer tant soit peu les anciens « italianismes », est la dernière grande vague d'emprunts à l'étranger, avant les anglicismes de la fin du XVIIIe siècle.
artsarchitecture
musique
Sa production [de Prætorius], impressionnante, presque entièrement consacrée à la musique sacrée, tente de concilier l'aspect savant et rigoureux, très allemand, et des accents d'italianisme […].