Le département fait de louables efforts pour créer un dispensaire antituberculeux. Il organise l'inspection des écoles. Quant à un sanatorium, n'en parlons pas pour l'instant. }}
Alarmé par toutes ces sollicitations, le chef d'état-major général de l'Armée se rend en inspection en Algérie et conclut, après cette tournée des popotes supérieures, à « l'inadaptation de l'Armée à cette forme de guerre » […].
Les infections subcliniques, révélées uniquement par l'inspection sanitaire des carcasses, ne seraient pas rares.