Une expérience faite avec Phaseolus vulgaris et Phaseolus nanus L. donna un résultat tout à fait concordant. Ph. nanus a, en plus de sa tige naine, des gousses vertes uniformément renflées ; par contre, Ph. vulgaris a une tige de 10 à 12 pieds et des gousses jaunes et étranglées à la maturité.
Si le rôle de l'amant est tenu par une femme travestie, ne le hurlez pas à travers le théâtre : « Sale gousse ! Rince ta langue ! Ousqu'est ton godmiché ? » et d'autres phrases impertinentes que le public n'entendrait pas sans protestations.
Le plus beau con de la famille, c'est le sien ; et je mouille pour elle quand elle ôte sa chemise, moi qui ne suis pas gousse, moi qui aime la queue. }}