Le fuseau des Parques, se dit poétiquement parce que, selon la fable, les Parques filaient la vie des hommes.
Déjà levée depuis longtemps, elle agitait les fuseaux de sa dentelle, qui claquaient avec un doux bruit sur le carreau vert que soutenaient ses genoux.
Ici, c'est le quartier des dentellières […] ; elles font marcher leurs langues tout autant, sinon plus, que leurs fuseaux : c'est un papotage sans fin.