Le Christianisme romain tend alors à n'être qu'un formalisme rituel, pour lequel l'idéal du fidèle devient le bon paroissien qui pratique et qui croit sans discussion.
Là, tous les ans, au dimanche des Rameaux, l'évêque montait en chaire et il haranguait les fidèles rassemblés dans la Cathédrale, en ces termes : […]
La paroisse compte une trentaine de feux, assez peu de fidèles. }}
Le chancel est destiné à isoler le chœur ou sanctuaire de la nef. Le chœur est réservé aux clercs, la nef aux fidèles. Ces derniers ne peuvent pénétrer dans le chœur et doivent suivre les offices à travers la clôture.
Guise était resté avec deux de ses fidèles, dans l'immense salle où toutes les lumières avaient été éteintes. }}