Et quand, dans les carrousels du grand siècle, l'écu du jouteur fit place aux « têtes de turc » ou au « faquin », le cavalier à l'assiette incertaine pouvait s'en prendre à sa « mazette ».
C'est un faquin.
Ce n'est qu'un faquin.
On l'a traité comme un faquin.
Son pied battait des appels, il les provoquait, les menaçait de la voix, du regard, de tout son être tendu comme un ressort. "Eh ! cria Pontraille, le faquin va m'éborgner !" }}