Il était si peu calviniste et si peu tolérant, qu'il disait : « Si je me trouvais dans la nécessité de me faire mahométan ou calviniste, j'aimerais mieux me faire mahométan ; car enfin les mahométans adorent un Dieu bon et miséricordieux, au lieu que les calvinistes nous proposent un Dieu cruel et impitoyable qui damne ses créatures de propos délibéré. »
Le dogme calviniste de la prédestination, religion terrifiante et qui avait touché si profondément les Écossais, s'était, en ce pays de compromis, atténué. , Histoire de l'Angleterre, Fayard & Ce, 1937, p. 598}}
Entre la petite Écosse, pauvre, calviniste et profrançaise, et la puissante Angleterre, épiscopalienne et traditionnellement hostile à la France, les relations n'ont jamais été de tout repos. , Vers une république d'Écosse ?, dans Marianne, n°772 du 11 février 2012, p. 53}}