Un grand de terminale l'avait traitée de « prol », elle lui avait répondu qu'il était un « bourge ». Le pauvre petit était allé pleurer chez ses parents qui avaient exigé que la subalterne présente des excuses au cher ange. Pétronille avait dit que « bourge » n'était pas plus une insulte que « prol », c'était un état de fait, il n'y avait donc pas lieu d'en tirer offense. }}