aux Etats-Unis, l'avocat de la poursuite (qui correspond au parquet en France) dit à l'avocat de la défense : si votre client reconnaît qu'il est coupable sur tel et tel point, je suis prêt à abandonner la poursuite sur tel et tel autre point. En France, cela est impossible au regard des dispositions de la loi Perben 2 du 9 mars 2004 […].
Me Rancourt a déploré la fermeté des autorités américaines à l'égard de sa cliente, à commencer par l'avocat de la poursuite qui voulait l'envoyer illico en prison.