Un rien, moins qu'un rien, irritait Michel ; les petites « américaineries » qu'il excusait autrefois n'allaient pas tarder, c'était visible, à être taxées d'excentricités inconvenantes… , Fiancée d'avril, Calmann-Lévy, 1898}}
Si je me hasarde à lui faire remarquer que le prix d'achat minime de ces américaineries constitue la raison essentielle de leur fréquent passage à l'antenne, je me fais aussitôt tancer d'importance.
Ah ! si, pardon, pendant les dix jours qui restaient, ils se sont gavés de japoniaiseries et américaineries que la TV dispensait généreusement… Franchement, huit ou dix jours auraient pu suffire !
Devons-nous rappeler qu'aucun de nos voisins ne partira de l'une des nombreuses villes américaines pour venir contempler à Montréal […] les autres « américaineries » par lesquelles on veut remplacer le couvent, l'évêché et l'église Saint-Jacques ?