Le Dr Aignier déclare au Congrès des monistes (Magdebourg, 6-10 septembre 1912) n'avoir constaté à Lourdes ni guérison ni amélioration véritables.
Tout échange monétaire est délicat : il serait bon de faire coïncider l'introduction du saarmark, et plus encore l'introduction du franc, avec une amélioration des conditions matérielles et politiques de la vie sarroise.