Ma première condamnation est due aux Verdets, des hommes qui s'intitulaient alors pères de la foi, et qui n'étaient autres que ces hideux jésuites que le Parlement, en 1762, a traité de corrupteurs de la jeunesse.
Le nom de Verdets se lie trop intimement aux massacres du Midi pour n'être pas long-temps célèbre dans cette partie de la France, et les soldats de la vieille armée qui ont traversé la Provence et le Languedoc après Waterloo se le rappellent avec autant de douleur que de mépris.