Quand on remonte de Toul vers le Nord-Ouest, le paysage n'est pas sans grandeur. Ce sont de larges creux boisés ; et la vue découvre à vingt ou trente kilomètres quelque crête plus sévère.
Dans le Nord-Ouest amazonien, par exemple, environ un siècle après l'abattis, il devient à peu près impossible à un botaniste professionnel de distinguer la végétation secondaire de la forêt primaire environnante (Sastre 1975).