La première supposition est conforme à l'ancienne tradition des Grecs, qui croyaient que l'embrasement d'une forêt décela le fer au sommet du mont Ida, en Crète.
Le mépris si profond que le Grec avait pour le Barbare, le Yankee l'a pour le travailleur étranger qui ne fait point d'effort pour devenir vraiment américain.
Pourtant je tiens jalousement à l'avertissement lancé par Homère aux Grecs dans L'Iliade et par Tyrtée dans les Élégies : « C'est une faiblesse déraisonnable que de se décharger sur la divinité de la responsabilité d'une morale et d'un ordre public » - Dieu, Allah ou quel qu'il soit.
Pour les Grecs, le cheval furieux est terrible à regarder et terrible à entendre, car le grincement des dents, le bruit du mors, rappellent le grondement des Érinyes […]