Rabah et moi traversons la place, un homme nous présente quatre cartouches de 'Gauloises sans filtre et nous harcèle : « Quarante mille! Quarante mille les quatre, mon frère! »
J'ai du mal à accepter l'idée que je ne pourrai plus jamais écouter un air d'accordéon sous le soleil de Paris, assis à une terrasse de café, un verre de vin dans une main et une Gauloise dans l'autre, en suivant du regard les passants.