La vieille dame avait une figure pâle et triste, sous ses cheveux blancs dont les bandeaux se terminaient par deux anglaises. , 813, 1re partie, chap. 3, 1910}}
Charlotte ! Ce ne fut pas sans un gros battement de cœur que je reconnus son écriture, une anglaise terriblement cursive, virile, presque illisible mais si distinguée ! , Maldonne dans Deux et deux font cinq, Paul Olendorff, 1895, p. 268}}