On le [Bacchus] représente ordinairement comme un vieillard à moitié ivre, monté sur un âne ou appuyé sur un thyrse.
De tous les pays circonvoisins, des campagnes et des villes, malades et infirmes, paralytiques, culs-de-jatte et pieds-bots accouraient dans des carrioles, dans des calèches, sur des ânes, sur leurs moignons calleux.
Les cris des coqs, les sabots des ânes poussés par l'encouragement sonore et monotone des paysans, réveillèrent Elhamy le lendemain.
Tiens, ça me rappelle la blague de Roland Dorgelès, tu sais, le Boronali, l'âne dont on magnifia le tableau. }}
Et ce n'est pas qu'il trottât mal, ou qu'il ruât, ou qu'il fût encore plus âne que les autres ânes.